Je repars pour Constanta. Dès le début de la journée, je me foule le pouce… comment ? Rien de bien spectaculaire, j’essayais juste de faire rentrer une bouteille d’eau dans une de mes sacoche. J’ai forcé un peu et mon pouce a fait « clack ». Mais après trois jours, tout est rentré dans l’ordre. Le soir, je trouve un endroit magique pour dormir. Une colline qui domine un lac. Et aucune maison à l’horizon. La montée est épique, des petits chemins bien encaissés mais une fois en haut, c’est le bonheur…. enfin presque. Je regarde mes pneus et ils sont remplis de petits picots. Je passerai la nuit a changer les deux chambres à air de mon vélo. Sept trous derrière et trois devant. Du boulot, oui mais devant un spot de rêve.
Au réveil, j’ai pris mes précautions et j’ai porté mon vélo et tout mon matos sur un kilomètre. Mais j’aurai quand même deux trous à l’arrière. Je souris, ironiquement mais je souris quand même. Je roule tranquillement et profite de mettre un peu à jour le site internet. Je vois aussi pour la première fois de ma vie la Mer Noire. Un moment un peu particulier. Le soir, je dors à Constanta et prochain objectif, la Bulgarie.
Coucou Chris-Alexandre! Quand est-ce que tu reviens à mon école? Est-ce que tu vas bien sur ton vélo? Portes-toi bien! Au revoir! Marco Canuto, Penthaz
Hello Chris,
Bravo pour tes textes. On a parfois l’impression d’y être.
A bientôt
Tonton
Bonjour,
… »les ruines depuis ce fameux spot »…ce sont les ruines de la citadelle ENISALA… 🙂